Le Mobilarm V100,
Les risques liés à la sécurité des employés œuvrant au sein d’un environnement de travail maritime commercial (par ex. : plate-forme de travail instable, mer démontée, visibilité réduite, etc.) augmentent les risques de glissades et de chutes. Ces risques,combinés à ceux liés au fait de travailler seul ou sur un quart de nuit ou d’avoir une brève perte de concentration lors d’un quart de travail prolongé, sont tous des facteurs pouvant conduire à la chute d’un homme à la mer : la plus importante cause d’accidents mortels en matière d’opérations maritimes. Bien qu’il soit difficile pour un employeur d’éliminer tous les risques pouvant mener à une situation d’homme à la mer, la façon de gérer une situation d’un homme à la mer a des répercussions directes sur son dénouement. Les entraînements et procédures en matière de chute d’homme à la mer sont fréquemment pratiqués et révisés, des gilets de sauvetage sont fournis aux employés, et les navires sont munis d’équipements de sécurité. Mais, ces éléments ne permettent pas d’alerter le capitaine ou l’équipage lorsqu’un homme tombe à la mer, et n’aident aucunement à repérer la personne en détresse.
Equipé de Mobilarm V100, l’équipage confronté à un environnement à risques va grandement améliorer ses chances de survie en cas de situation d’homme à la mer en alertant instantanément capitaine et équipage de l’état d’urgence et en émettant les coordonnées GPS précises directement vers la radio du navire. Pour assurer un sauvetage rapide et efficace dans le cas de situation d’homme à la mer, le Mobilarm V100 est la première radio-balise numérique personnelle à utiliser les ondes-radio VHF pour transmettre automatiquement un signal d’alerte vers tout récepteur situé dans un périmètre de dix (10) milles nautiques.
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Détection et notification automatique en cas de situation d’homme à la mer
- Utilise l’infrastructure radio GMDSS/VHF existante – Nul besoin d’équipements ou services spécialisés, tels les dispositifs radiogoniométriques ou satellites
- Indique les coordonnées de positionnement en temps réel, lesquelles sont actualisées et transmises à intervalles réguliers vers tous les récepteurs VHF à portée
- Permet de maximiser les chances de survie d’une victime par le biais de la transmission d’un signal de détresse pouvant être reçu simultanément par le plus grand nombre de personnes possible, lesquelles peuvent toutes participer aux efforts de recherche et de sauvetage.
- Économique et pouvant servir à toute organisation maritime (ou pour usage personnel) et sur tout type de navire ou installation maritime
La conception, la dimension et le poids du Mobilarm V100 permettent que ce dispositif soit confortablement agrafé à une sangle ou un harnais, soit intégré à un gilet de sauvetage ou simplement inséré dans une poche de vêtement.
Le Mobilarm V100 n’est ni une PLB 406 ni un EPIRB. Son signal d’alerte n’est pas détectable par satellites. Seuls les récepteurs VHF de la marine sont habilités à recevoir le signal d’alerte transmis par ce système. Le Mobilarm V100 est un dispositif de transmission de signal de détresse et ne doit être activé qu’en cas d’urgence. Un usage abusif ou une fausse activation sont considérés comme étant des actes illégaux et irresponsables, et des poursuites ou sanctions pourraient en résulter.
Aucun dispositif n’est infaillible à 100%, et aucun dispositif ne peut garantir un sauvetage en toute sécurité en situation d’urgence. Lorsqu’activé, le Mobilarm V100 émet un signal de détresse via les ondes VHF DSC (Système d’alerte par appel sélectif numérique) ainsi qu’un message vocal VHF vers tous les navires ou installations à portée qui sont munis de radio VHF DSC et VHF, mais une interaction humaine est nécessaire par la suite pour accuser réception et répondre au signal de détresse. Le repérage GPS par satellite et le suivi à flot dépendent de la portée du système de couverture et de réception satellite au moment de l’urgence ainsi que du lieu où survient l’urgence. La durée réelle et le succès d’un sauvetage sont donc dépendants de ces facteurs et, comme tel, sont hors du contrôle de Mobilarm.